le monde de guibis

L'union, la force, tout sourit à la vie
La séparation - le divorce - chute ?
L'amour bienheureux lie, l'être seul désunit
Le départ pré-établi, sur quel culbute ?

Nos enfants beaux fruits de notre ex-amour ?
Que faisons-nous ? Chacun sa part, son histoire ?
Ils seront là présents, une part de nous toujours
Respecter son ancienne idylle, ni être ni avoir

Respecter mon enfant ma vie celle de mon ex'
Regarder la tête pas son nombril, oh miroir !
Rebondir savoir vivre remplir de bonté

Ne pas s'enfermer sur son enfant, respirer
La vie chante puis déchante sans broyer du noir
Voir le livre ouvert de la bibliothèque.

La petite sirène est devenue écume,
Je vois planer cette neige vol-au-vent,
Petite fille qui rêve d’être plume
De semer aussi des graines d’émerveillement

Poussières d’étoiles, je veux continuer
A faire pleuvoir la brume dorée d’ailleurs
A distribuer ces miettes de bonheur
Aux Hommes si sérieux, si désabusés

Ecume de rêves, neige de possibles
Emplit le cœur de la grise réalité
Cultive le rose dit inaccessible
Révèle-leur la magie en nous cachée

Révèle sa magie à l’homme si triste
Illustre sa vie, son cœur, de multicolore
Ravit-le d’étincelles d’amour encore
Laissons le commun aux mortels, soyons altruistes

en réponse à

http://lemondedeguibis.canalblog.com/archives/2012/02/16/23534652.html 

„Ich liebe es, wenn ihr drei da seid !
- Es ist nicht normal, drei Erwachsene in einer Familie zu sein…
Na und ? Ich liebe es, und das ist genug für mich !“

Ach Schatz, vergiss nicht, dass ich dich liebe
Du wirst eines Tages entdecken :
Sie sagen, dass diese Situation nicht moralische ist…

Someday they will laugh at you,
They will throw everything we built to the ground,
Saying I’m a bitch, a lunatic, an unfit mother…

I am sorry boy, but don’t forget honey,
I did it out of love. Or so I thought.
I did my best, I’m not perfect, I may only be a dreamer.

Je n’ai pas reconnu l’Amour quand il est apparu,
Mais ceux qui s’aiment finissent par être réunis
Le respect, l’attention, les illusions peut-être, ont fait le reste.

Tu as appris de l’Amour les différents visages,
Te voilà confronté à l’uniformité, au dégoût des différences,
Mais n’oublie pas mon fils, trois nous sommes pour toi,
We’ll be behind you, unabhängig Pfad, den du wählst

J’ai rêvé

Blanche, noire, grise, bergeronnette suis.
Petit oiseau dans la ville et dans le bruit,
Je marche, cours, file, de refuge en abri,
... Ailes ? Ciel ? Qu’est-ce ? À terre je survis.

Un chant me réveille, envoûtante mélodie
Là-haut, tout là-haut ; j’en suis ébahie.
Alors ; prendre son envol n’est pas interdit ?
Attends-moi, apprends-moi, que je fuie !

Petit oiseau se pose, je suis recueillie,
Fermant les yeux, je déplie mes ailes jaunies
Souffrance, délivrance, renaissance ressentie,
Adieu triste réalité, j’ose et m’épanouis !

Oh, mon bel oiseau, oiseau joli,
A ta suite je verdis, bleuis, rosit,
Rougis : quatre ailes, deux corps, un esprit,
Volons, libres, heureux, oiseaux de paradis !

La tête enchantée dans l'océan fêlé

Face aux désirs du monde - princesse envoûtée

Se battre se dévoiler - face à qui et pour qui ?

Qui suis-je sur quelle face je ris ?

Le monde classifié nous asséne ses beautés

La tête aux canons, conserver sa propre paix

On nous donne des codes désenchantés

Vite se mouler pour se rassurer

Oter de soi-même le voile de sa vie

Rester sur son assise face aux écrans soulants

De son individu dévoiler son bel-être

Voiler les télés cesser de paraître

Nos idées mises à nues fini le gnan-gnan

Ouvrez les poumons respirez à l'infini.

Le petit ange blond face au ciel étoilé
pas d'ennui dans la classe, rêver pour s'évader
L'artiste suppose la tolérance des maux
face au cadre du tableau, bonhomme vise haut

La fratrie, Bretagne les chateaux de sable,
Dans le Dauphiné les balades en montagne
oxygènent bien plus que les courtes entrées
sur le terrain deuxième ligne en mêlé (emmélé ?)

Le cadre du tableau ne cadre pas assez mal
pour éviter le plongeon des études fatales
Derrière les nuages l'immensité du ciel
Mon dieu où donc trouver mon bonheur mon soleil ?

des mathématiques - Etude en bohème
l'homme bon au gré des gens a le chant en berne
Les voyages les nounours ne masquent pas l'attente
Même avec la famille la vie toute seule ne chante

Le nounours s'est réveillé, a fait sa cuisine
Il étonne son monde  l'homme bon s'exprime
Il a trouvé son chemin son équilibre sa belle
le droit tableau gris-noir a explosé face au ciel